Marie-Angélique Arnauld, abbesse de Port-Royal des Champs
Auteur principal
Profession auteur principal
Renseignements biographiques
Vers 1650 - ?
Auteur secondaire
Biographie auteur secondaire
1602-1674
Profession auteur secondaire
Date d'exécution
Après 1661 ; fin du XVIIème siècle
Dimensions
75 x 12,4 cm
Lieu d'exécution
Lieu de conservation actuel
Autres exemplaires
Autre exemplaire à la Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie, N-2 ARNAULD, Marie Angélique, n°077589
Ouvrage imprimé ou manuscrit
Texte dans image
Sur le cadre : "Quaerite ergo primum regnum dei & justitiam ejus : Haec omnia adjicientur vobis. Math C, 6".
A gauche : "P. Champegne pinx.".
A droite : "N. Habert sculp.".
Paratexte
Sur la pancarte : "Marie Angélique Arnauld / Abbesse de Port-Royal / Decedée à Paris le 6è d'aoust 1661 agée de 70 ans".
La version de la BNF comporte une ligne en bas : "Première Abbesse Trianale de Port-Royal des Champs"
Traduction des textes
"Préoccupez-vous d’abord du Royaume de Dieu et de la vie juste qu’il demande, et Dieu vous accordera aussi tout le reste." Matthieu, Chapitre 6, verset 33.
Références
DELALEX Hélène, La collection de portraits gravés de Louis-Philippe au château de Versailles, Revue des Musées de France - Revue du Louvre, 2009.
Biographie
Album Louis-Philippe
Cette estampe fait partie de la série de grands albums reliés contenant des portraits gravés et provenant du cabinet de gravures constitué par Louis-Philippe, duc d'Orléans puis roi des Français. La constitution des albums s'est étendue pendant plus de vingt-cinq ans et était conservée au Palais-Royal. Sur les 114 volumes dont on garde la trace, 75 sont aujourd'hui conservés à Versailles dont 65 seulement contiennent des gravures - près de 16 500. Les albums furent ensuite conservés au manoir d'Anjou, près de Bruxelles, dans la collection d'Henri d'Orléans comte de Paris, puis, lorsqu'en 1948 le prince et sa famille quittèrent la Belgique pour se fixer au Portugal, les volumes furent mis en vente publique à Bruxelles. A la demande de Charles Mauricheau-Beaupré, le comte de Paris accepta de retirer les volumes et les vendit au château de Versailles pour 1 200 000 Francs.